Juché sur les hauteurs du plateau de Laikipia, à 1900 m d’altitude, Arijiju fait corps avec son environnement.
Cet ensemble architectural à la fois discret et magistral embrasse les éléments : la pierre et le bois sont issus de la région, les toitures végétalisées et les pièces en partie creusées dans la roche, de sorte que la maison se fond dans le paysage.
Les pièces disposent de grandes ouvertures vitrées donnant sur la vallée de Sieku qui se déploie à perte de vue. Les lieux étant destinés à un usage privatif, on est ici chez soi.
Les suites spacieuses habillées de lin froissé, éclairées de grands chandeliers, offrent un luxe dépouillé, avec cheminée, baignoire en cuivre et douche extérieure. La circulation entre les pièces, mais aussi entre le dedans et le dehors, est fluide : le silence aussi bien que les conversations animées circulent entre la salle à manger, le salon, la bibliothèque, la salle de cinéma et la salle de jeux.
Les hirondelles - mais aussi, plus rarement, les éléphants - viennent s’abreuver dans la piscine à débordement alimentée par une source. Le climat est tempéré, les nuits sont fraîches mais jamais froides grâce aux feux qui crépitent.
Pour parfaire le séjour, les bonnes fées du logis Frida et Eunice dispensent cours de yoga et soins de bien-être à base de miel sauvage et de thé vert récoltés localement.